Kossuth, dont le nom murmure comme un sifflement de flamme, est le seigneur des élémentaux de feu, ainsi que de tous ceux qui considèrent que le feu est une force purificatrice et revitalisante. Il est représenté sous la forme d’un immense colonne de flammes qui se dresse à l’assaut des cieux. In incarne la destruction de l’ancien pour laisser la place au neuf, mais souhaite des changements mesurés malgré leur brutalité. Il est le feu du foyer, présence réconfortante qui peut soudain devenir menaçante et brûler la maison. Et il est aussi le mystère des flammes, ce secret qui inspire les forgerons et la folie aux pyromanes.
Comme tous les Seigneurs Elémentaires, Kossuth ne s’intéresse que très peu à ses fidèles. Ses réactions sont toujours calculées, même si ses raisonnements restent incompréhensibles. Il est indéniable qu’il a un but bien précis, mais il n’a jugé bon d’en parler avec aucun habitant d’Abeir-Toril. Quelque chose le pousse à réunir bien plus de fidèle que les autres Seigneurs Elémentaires (peut-être, tout simplement, parce qu’il les brûle rapidement). Le grand détachement de Kossuth et des autres Seigneurs Elémentaires fait qu’on les considèrent (à tort) comme des puissances mineures dans les Royaumes, et leurs religions respectives sont ravalées au rang de sectes. Il n’a pas été aperçu au cours du Temps des Troubles.
Kossuth accepte tout ce que l’on brûle en son nom, mais il a tout de même une préférence pour les grenats, les topaze, la citrine, le fer ou les métaux précieux forgés avec art, les noix, les huiles de qualité, les résines aromatiques et la viande. Il offre à ses fidèles la faculté d’utiliser le feu au mieux et une certaine protection conte les flammes et la chaleur. C’est le seul Seigneur Elémentaire qui soit logique dans ses dons : il récompense bien plus ses fidèles serviteurs et ceux qui lui font d’importantes offrandes que les autres. |
Sort de Kossuth:
| Bannissement des flammes |
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